Joanna Lorho

Nina

Mars 2016

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Ce qui est chouette dans le format du clip, c’est que tu peux sortir de tes habitudes, nouvelle musique, on repart à zéro et on voit ce que ça donne. Ici,"Nina" c’est le dernier clip en date des Blondy Brownie

En hibernation

Janvier 2016

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En attendant une probable refonte de ce site, mais la fonte c’est au printemps ! Mais justement, il va plutôt hiberner ce site.
En attendant, deux autres adresses, mais je n’assure pas qu’elles soient toujours très fréquentables.

un endroit où je dépose du dessin

un autre endroit où je dépose plutôt de la musique

La brume ascendante

Janvier 2016

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Il y a quelques temps on a cherché à sortir des brumes pour avoir un peu de lumière. On est monté dans la montagne. Mais la brume a été plus rapide que nous, elle gardait son air tranquille mais en vérité elle grimpait vers nous comme une furie . Croire qu’on va profiter du soleil et disparaître dans un triste brouillard, ça m’a fortement attristé.
Sinon à part ça les journées sont beaucoup trop courtes.

Disclamer

KIJE à suivre

Août 2015

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"Kijé" commence doucement sa petite vie en festival, je vais tâcher de tenir son parcours à jour :

02-06/03/2016 Tricky Women programme "Worlds in between".

27/12/2016 Dans le cadre de sa sélection aux Magritte du cinéma, "Kijé" est programmé pendant le Befilm festival à BOZAR.

25-29/11/2015 - Sommets du Cinéma d’Animation de Montréal (CA)

20-22/11/2015 - GRAFIXX Anvers (BE)

18-22/11/2015 - Festival Séquence court-métrage (Toulouse FR)

19-25/10/2015 - Compétition internationale au 34th Uppsala International short film festival (Sweden)
24-27/09/2015 - Sélection officielle à ANIMASYROS (Greece)

20-28/09/2015 - Sélection officielle au Krok Festival (Russia)

13/09/15 - Projection à Cultures Maison (avec "Blueland") (Bruxelles)

10-13/09/2015 - Panorama au Festival Animanima (Serbia)

09-13/06/15 - Sélection officielle au festival FIKE (Portugal)

08/06/15 - Sélection officielle au festival 20MINMAX (Germany)

29-31/05/15 - Sélection officielle au festival "ANIMASIVO" (Mexicò).

14/05/15 - Studio des Ursulines à Paris soirée spéciale "Prix Format Court".

30/04/15 + 02/05/15 Sélection officielle à Mediawaves (Hongrie)

28/04/15 - Brussels Short Film Festival "Projection du programme LABO"

23/04/15 - Festival BD6Né. Paris

2/04/15 - "Trois jours trop court" Festival de courts métrages d’animation de Castres Compétition officielle.

20/03/15 - Festival international du Film d’Aubagne

16/03/15 Festival Internacional de Cine de Lanzarote (FICL) 2015. Sélection internationale.

18/02/15 - Anima, catégorie "Panorama", avec "Blueland", le clip que j’ai terminé en mars dernier et un paquet d’autres films que j’ai très envie de voir.

18/01/15 - Sélection officielle au Festival Premiers Plans à Angers, il a reçu le prix "Formats Court".

À suivre...

KIJE LIVRET+DVD

Juin 2015

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"Kijé" existe en dvd et est maintenant disponible en librairie (et sûrement dans quelques festivals qui le sélectionneront), le film est glissé dans un petit livre d’une 60aine de pages qui retrace la genèse du film avec des images (recherches, storyboard, décors, animations...) et des extraits de mon site sur lequel j’ai tenu pendant plusieurs années une sorte de journal...
"Format Court" l’a même chroniqué ici.

K I J E par Format Court

Mai 2015

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SOURCE : www.formatcourt.com

Les éditions DVD de courts métrages d’animation à l’unité sont assez rares. Une édition aussi belle que celle de « Kijé » de Joanna Lorho, Prix Format Court à Angers projeté ce jeudi aux Ursulines, est certainement une première. Au point qu’on aura du mal à qualifier le livret qui entoure le disque de « supplément » puisqu’il fait partie intégrante du processus filmique. Il existe différentes façons de découvrir puis de parler d’une œuvre. L’habituelle reste celle de se retrouver face à elle, la laissant défiler sur un écran et ensuite de se mettre à réfléchir avec le matériau final, brut. Avec ce DVD co-édité par Zorobabel, Graphoui et La Cinquième Couche, on peut découvrir le film de manière « génétique ». En effet, on a droit à toute la genèse du projet artistique avant, à la toute dernière page, de trouver le disque avec le court. L’avoir placé tout au bout n’est pas un hasard, et prouve bien que (re)voir l’œuvre à l’aune de tout le chemin parcouru, des presque dix années de maturation qu’il a fallu à la réalisatrice pour enfin voir le bout du tunnel, est important. Qu’on aime ou non le film n’est alors même plus la question : nous avons droit à une nouvelle manière de le voir, de l’expérimenter, de se l’approprier. Et c’est un phénomène assez peu courant pour en profiter pleinement.

De quoi se compose le livret ? Déjà d’une couverture qui donne le point de départ : tout ici est fait main. L’écriture, le titre, le personnage mis en mouvement par les traits qui vont et viennent de tous les côtés comme s’il nous rappelait que l’ordinateur n’aurait jamais pu lui donner vie, tout rappelle la création artisanale. Puis, on a la chronologie du processus de fabrication en images et en mots. On commence, comme dans une exposition sur la fabrique d’une œuvre, par des extraits du premier story-board puis par des recherches plus précises, plus fines : le film est déjà en marche et l’intérêt réside aussi dans les dates apposées en dessous des choix graphiques afin de montrer l’évolution de la matière filmique, du mouvement, ses arrêts de temps en temps avec des coupures qui semblent s’éterniser avant la reprise.

Puis, on a les mots, à la manière d’un journal entremêlé d’entrées thématiques. Si les images bafouillent, les paroles aussi. On sent le désir de créer quelque chose, un univers, un monde, des personnages mais sans trop savoir comment les exprimer. C’est aussi complexe par l’image, qui change, qui tâtonne, qui évolue. On a droit aux espoirs et aux agitations et crispations de l’auteur qui nous parle à la première personne. À ce qu’elle écoute, voit, entend, aux réactions des gens autour d’elle qui ne la comprennent pas toujours bien. Et puis, on a ces plans qui commencent à prendre forme, à s’animer avec des planches où quelques dessins se suivent et au milieu desquels on peut imaginer les intervalles manquants, ce qui va mener au mouvement. On vit avec elle, le temps d’un livre, dans ses souvenirs, sa mémoire, ses fantasmes et ses envies. Lire le livret, c’est un peu partager un moment de vie et surtout la vie d’une œuvre en train d’être créée, comme une future maman qui parlerait de ce qu’elle vit au quotidien sauf que dans le cas de « Kijé », c’est vraiment plus intéressant.

KIJE teaser from Joanna Lorho on Vimeo.

Au final, plus on avance et plus on les découvre, plus elles prennent forme, l’œuvre et sa créatrice. Jusqu’au moment où enfin, on peut prendre le disque, très simple. Un menu avec le titre et une image, on clique et le film commence, et on peut se mettre à le regarder. Un seul bémol : une qualité d’image peut-être pas optimale mais suffisante sur les écrans pas trop grands.

Nicolas Thys - Mai 2015

Jeunesse

Mars 2015

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Dessiner en couleur est un long apprentissage...

À suivre.